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    L'Homme est merveilleux mais faudrait-il encore qu'il soit là . Enfouis sous un tas de conventions , il réagit selon des critères... on est determinés ... toutes ces règles et toutes ces entraves aux sentiments . Pourquoi ? On fini presque par ne plus se le demander ... Pour se rassurer ? alors nous  sommes complétement masochistes au fond . Ils nous suffirait de vivre et arreter de survivre. Courir , jouer , rire , sauter , penser , souffrir , aimer . Rien , absolument rien ne nous en empeche. Et encore voyager , s'evader , ecrire , sourire à n'importe qui n'importe quand , dire des choses absurdes mais le monde l'est lui même!  En avoir les yeux plein de larmes.
    nous allons continuer jusqu'où ? Jusqu'à en crever ? En crever d'indifférence... Quand est ce que nous  jeterons ces conventions et que nous pourrons nous detacher de tout pour se sentir leger , enfin !
    Pouvoir regarder quelqun dans les yeux pendant cinq minutes et croire que l'on se comprend . S'arreter en marchant sur un rond d'herbe et regarder le ciel en se disant que le temps n'est pas ...


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  •  " L'art est un miracle permanent , il est le magicien qui réussit , en additionnant deux plus deux , à obtenir cinq ou bien un million ou bien encore l'un de ces nombres gigantesques et fastueux qui hantent ou eblouissent un esprit delirant tenaillé par la torture d'un cauchemar mathématique. L'art s'empare des choses simples du monde pour leur donner des formes merveilleuses , il les abreuves de couleurs créant des madones à partir de jeunes fleuristes florentines et metamorphosant le léger babil des oiseaux . Des mots banals , nos rêves et nos souçis insignifiants deviennent magiques sur scène . Lorsque l'art , ce magicien lunatique met du rouge sur les levres de la vie."


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  • C'est un peu ça ...
    Sentir la craie s'effriter sous la langue, parce que gamine , la vie avait un goût plutôt coméstible.
    Marcher le long des orties et ramasser les pissenlits à l'odeur legère des premiers rayons de soleil .
    Plonger nos mains dans les pots de terre chaude et ballader ses doigts au plus profond .
    Jouer aux espions sous la table de la salle à manger , branchements farfelus , atentats du dernier potage au cornichon.
    Somnoler dans des petits lits de poupons aux draps eparpillés sur nos frêles corps d'emmerdeurs.
    Bidouiller l'infime détail , le derober de son sens et gôuter au fin plaisir d'y mettre le sien.
    Sucrer ses tartines de pains , beurrer ses gateaux et boire son chocolat par le nez.
    Vider les flacons de shampoing et etaler ces substances visqueuses sur nos mains potelées.
    Se faufiler dans les boites à carton , simuler l'absence , egrainer l'angoisse et oublier la sortie.
    Courir après les chats de la voisine , poursuivre son instinct sadique sous les pas lourds de nos bottes en caoutchouc.
    Pisser dans des pots en plastique , ravalant notre pudeur face à une horde d'adultes ébahits par la phase première de la sociabilité du môme.

    Tyraniser la dernière heure , la faire cracher son venin ...


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